Inutile de changer de chaîne d’ailleurs, car elles sont presque toutes formatées dans un seul moule, celui de la compulsion de la vitesse. Le cinéma est l’usine à produire des mythes postmodernes, autant qu’il est une fabrique d’objets conceptuels capables de nourrir le corps émotionnel d’êtres humains dopés au harcèlement ...